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Курсовая работа*
Код |
339324 |
Дата создания |
07 июля 2013 |
Страниц |
36
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Содержание
Sommaire
INTRODUCTION
LE CHAPITRE 1. LE STYLE D’E. ZOLA.
1.1. E. Zola et son roman.
1.2. L’image du personnage.
LE CHAPITRE 2. LE SYSTEME DES PERSONNAGES FEMININS.
2.1. L’heroine principale.
2.2. Les personnages de second rang.
CONCLUSION
BIBLIOGRAPHIE
Введение
Развитие женского образа на примере романа Золя "Женское счастье" (на французском языке)
Фрагмент работы для ознакомления
«Ce qu'elle taisait, c'était l'escapade amoureuse de Jean, des lettres écrites à une fillette noble de la ville, des baisers échangés par-dessus un mur, tout un scandale qui l'avait déterminée au départ ; et elle accompagnait surtout son frère à Paris pour veiller sur lui, prise de terreurs maternelles, devant ce grand enfant si beau et si gai, que toutes les femmes adoraient». (10)
Il montre une série de manifestations physiologiques de la réaction psychologique de l'héroïne que confirme le style naturalistique de l’auteur:
«Denise l'écoutait, saisie, toute pâle». (13)
Le personnage présente aussi le jugement porté sur soi-même :
«Elle finit par rire, tant l'idée lui semblait baroque. D'ailleurs, est-ce qu'un homme aurait voulu d'elle, sans un sou, pas plus grosse qu'un mauviette, etpas belle encore ? Non, non, jamais elle ne se marierait, elle avait assez de deux enfants». (16)
L'écrivain nous transmet et la particularité de la perception intérieure du personnage :
«Denise, depuis le matin, subissait la tentation. Ce magasin, si vaste pour elle, où elle voyait entrer en une heure plus de monde qu'il n'en venait chez Cornaille en six mois, l'étourdissait et l'attirait ; et il y avait, dans son désir d'y pénétrer, une peur vague qui achevait de la séduire. En même temps, la boutique de son oncle lui causait un sentiment de malaise. C'était un dédain irraisonné, une répugnance instinctive pour ce trou glacial de l'ancien commerce. Toutes ses sensations, son entrée inquiète, l'accueil aigri de ses parents, le déjeuner triste sous un jour de cachot, son attente au milieu de la solitude ensommeillée de cette vieille maison agonisante, se résumaient en une sourde protestation, en une passion de la vie et de la lumière. Et, malgré son bon cœur, ses yeux retournaient toujours au Bonheur des Dames, comme si la vendeuse en elle avait eu le besoin de se réchauffer au flamboiement de cette grande vente». (20)
L'auteur développe l'image de l'héroïne aussi dans la désignation de la place de sa naissance:
“Il la pressait du regard, il attendait une réponse décisive. Denise, que ces histoires avaient passionnée davantage pour le Bonheur des Dames, au lieu de l'en détourner, gardait son air tranquille et doux, d'une volonté têtue de Normande au fond”. (34)
L'écrivain dessine l'état intérieur de l'image dans la comparaison métaphorique:
“Elle se sentait perdue, toute petite dans le monstre, dans la machine encore au repos, tremblant d'être prise par le branle dont les murs frémissaient déjà”. (62)
“Puis, quand elle y était enfin entrée, pour échapper aux commis du blanc qui riaient, elle avait comme buté tout d'un coup contre l'étalage de Mouret ; et, malgré son effarement, la femme se réveillant en elle, les joues subitement rouges, elle s'oubliait à regarder flamber l'incendie des soies”. (62)
Pour la transmission de la relation au personnage, l'auteur donne de nombreuses estimations des autres personnages, qui s'expriment avec de divers lexèmes d'estimation :
“Déjà Hutin rejoignait Favier, auquel il disait tout bas, de sa voix crue :
– Hein ? quelle désossée !” (64)
“Bourdoncle, avec son dédain de la femme, fut suffoqué de cette prétention.
– Allons donc ! murmura-t-il, c'est une plaisanterie ! Elle est trop laide.
– Le fait est qu'elle n'a rien de beau, dit Mouret”. (69)
Ensuite l'auteur utilise de diverses épithètes et les comparaisons pour le développement de l'image du personnage:
“Ce fut une transfiguration. Elle restait rose, et le sourire, sur sa bouche un peu grande, était comme un épanouissement du visage entier. Ses yeux gris prirent une flamme tendre, ses joues se creusèrent d'adorables fossettes, ses pâles cheveux eux-mêmes semblèrent voler, dans la gaieté bonne et courageuse de tout son être”. (71)
En dehors de cela, l'écrivain utilise l'endophasie des personnages dans les paroles d'auteur, de diverses propositions exclamatives et interrogatives :
“Mais l'entrée de Denise réconcilia ces demoiselles. Elles la regardèrent, puis se sourirent. Pouvait-on se fagoter de la sorte! La jeune fille alla gauchement s'inscrire au tableau de ligne, où elle se trouvait la dernière”. (114)
L'auteur introduit dans les paroles des autres héros l'estimation de l'héroïne en forme du surnom, qu'ils à elle se sont appropriés. Le surnom la métonymie reflète une principale ligne, qui est liée à l'apparence de l'héroïne, et en même temps caractérise d'autres personnages comme des personnalités superficielles et peu éloignées, qui ne comprennent pas les particularités de son intérieur. Puisque ne représentent pas les personnalités avec une riche vie intérieure:
“Il venait de se rappeler «la mal peignée», comme la nommait Bourdoncle”. (153)
Ensuite à l'image du personnage l'écrivain ajoute une nouvelle signification, la particularité de son apparence, qui n'était pas remarquée auparavant quoi que – par cela l'auteur développe l'image:
“C'était en effet, la seule beauté de Denise. D'un blond cendré, ils lui tombaient jusqu'aux chevilles ; et, quand elle se coiffait, ils la gênaient, au point qu'elle se contentait de les rouler et de les retenir en un tas, sous les fortes dents d'un peigne de corne. Clara, très ennuyée par ces cheveux, affectait d'en rire, tellement ils étaient noués de travers, dans leur grâce sauvage. Elle avait appelé d'un signe une vendeuse du rayon de la lingerie, une fille à figure large, l'air agréable”. (115)
Au développement ultérieur de l'image l'auteur s'adresse de nouveau aux comparaisons avec d'autres héros du roman:
“Denise était devenue très pâle. Une honte la prenait, d'être ainsi changée en une machine qu'on examinait et dont on plaisantait librement. Mme Desforges, cédant à une antipathie de nature contraire, agacée par le visage doux de la jeune fille, ajouta méchamment…” (146)
“Sa robe de soie n'était plus trop large, serrant sa taille ronde, moulant les lignes pures de ses épaules de vierge; et, si sa chevelure, nouée en grosses tresses, restait sauvage, elle tâchait du moins de se contenir”. (153)
Denise aussi commence son éducation sentimentale : avec son amie Pauline Cugnot des lingeries, elle s’intéresse un peu aux histoires de cœur de son comptoir. Cette dernière lui conseille de prendre un amant pour subvenir à ses besoins financiers. Mais Denise ne peut supporter l’idée même : elle préfère se fatiguer à faire des nœuds de cravate la nuit. Mais, en même temps, touchée par la galanterie hypocrite de Hutin qui se moque d’elle dans son dos, elle s'en croit amoureuse. Petit à petit, naît entre elle et Mouret une sorte de complicité dont aucun des deux ne comprend qu’il s’agit en fait d’un véritable coup de foudre : en effet, ni l’un ni l’autre ne sait ce qu’est l’amour, qu’il s’agisse de la naïve Denise ou du déjà trop expérimenté Mouret, habitué à des relations sans lendemain. L'écrivain transmet l'apparition des nouvelles lignes dans la conduite de l'héroïne: la minauderie.
“Et, tandis qu'elle se cambrait, avec des grâces imposées de gravures de mode, elle songeait aux quarante francs de la pension de Pépé, qu'elle avait promis de payer le soir”. (160)
Comme l'écrivain-naturaliste, Zola utilise de divers mots reflétant son style, et ses regards esthétiques:
“Jamais elle n'avait obéi à des idées, sa raison droite et sa nature saine la maintenaient simplement dans l'honnêteté où elle vivait”. (167)
Enfin l'écrivain montre la transformation définitive de l'image de l'héroïne en le personnage avec les nouvelles qualités:
“Mais Denise, sous ces haleines chaudes qui éveillaient peu à peu la femme en elle, gardait encore sa paix d'enfant”. (171)
Zola transmet aussi la perception de l'héroïne dans une nouvelle image dans le regard des autres personnages. Avant tout est un point de vue de Mouret:
“Alors, il se tut. Mais il la regardait toujours, dans sa petite robe noire, coiffée de son chapeau garni d'un seul ruban bleu. Est-ce que cette sauvageonne finirait par devenir une jolie fille? Elle sentait bon de sa course au grand air, elle était charmante avec ses beaux cheveux épeurés sur son front. Et lui qui, depuis six mois, la traitait en enfant, qui la conseillait parfois, cédant à des idées d'expérience, à des envies méchantes de savoir comment une femme poussait et se perdait dans Paris, il ne riait plus, il éprouvait un sentiment indéfinissable de surprise et de crainte, mêlé de tendresse. Sans doute, c'était un amant qui l'embellissait ainsi. À cette pensée, il lui sembla qu'un oiseau favori, dont il jouait, venait de le piquer au sang”. (252)
Une nouvelle ligne sous l'aspect de Denise est sa maturité féminine, un grand début:
“Ce fut là qu'elle acheva de comprendre la puissance du nouveau commerce et de se passionner pour cette force qui transformait Paris. Ses idées mûrissaient, une grâce de femme se dégageait, en elle, de l'enfant sauvage débarquée de Valognes”. (252)
Les héros voient un autre Denise:
“Il se tournait, tâchait de distinguer ses traits, dans la nuit grandissante. Elle semblait toujours la même, vêtue d'une robe simple, le visage doux ; mais, de cet effacement modeste, montait un parfum pénétrant dont il subissait la puissance. Sans doute, cette petite s'était faite à l'air de Paris, la voilà qui devenait femme, et elle était troublante, si raisonnable, avec ses beaux cheveux, lourds de tendresse”. (258)
De plus l'écrivain aux yeux du héros compare avec les autres personnages:
“Et il avait reporté ses regards sur Denise, il la voyait bien, dans le pâle crépuscule : elle était toute chétive auprès d'Henriette, pourquoi dont lui chauffait-elle ainsi le cœur?” (260)
“Et des crises la reprenaient, secouaient son corps frêle de grands frissons. Il semblait que le tas de ses cheveux noirs lui écrasât la nuque. Comme elle roulait sa tête malade sur ses bras repliés, une épingle se défit, les cheveux coulèrent dans son cou, l'ensevelirent de leurs ténèbres. Cependant, Denise, sans bruit, de peur d'éveiller l'attention, tâchait de la soulager. Elle la dégrafa et resta navrée de cette maigreur souffrante : la pauvre fille avait la poitrine creuse d'une enfant, le néant d'une vierge mangée d'anémie. À pleines mains, Denise lui prit les cheveux, ces cheveux superbes qui semblaient boire sa vie ; puis, elle les noua fortement, pour la dégager et lui donner un peu d'air”. (273)
Maintenant l'auteur désigne que l'héroïne est perçue non comme un faible malpeigné, mais comme un certain ennemi à la prospérité d'autres:
“Et, comme les magasins ouvraient enfin, il se précipita pour donner un dernier coup d'œil aux divers comptoirs. Bourdoncle hochait la tête. Cette Denise, simple et douce, commençait à l'inquiéter. Une première fois, il avait vaincu, par un renvoi brutal. Mais elle reparaissait, et il la traitait en ennemie sérieuse, muet devant elle, attendant de nouveau”. (303)
Pour transmettre le développement de l'image l'écrivain compare à la représentation premiere du personnage:
“Maintenant, elle s'y regardait près de Denise, elle établissait des comparaisons. Était-ce possible qu'on lui eût préféré cette créature insignifiante ? Elle se souvenait, cette créature était bien celle qu'elle avait vue, autrefois, faire à ses débuts une figure si sotte, maladroite comme une gardeuse d'oies qui débarque de son village. Sans doute, aujourd'hui, elle se tenait mieux, l'air pincé et correct dans sa robe de soie. Seulement, quelle pauvreté, quelle banalité!” (325)
L'image des cheveu, avant présentant non dirigé, non coiffé, est transmise maintenant dans une nouvelle représentation, comme l'ornement majestueux de la femme :
“Lui, la regardait en souriant, dans sa robe de soie toute simple, sans un bijou, n'ayant que le luxe de sa royale chevelure blonde. Elle s'était affinée, la peau blanche, l'air délicat et grave. Son insignifiance chétive d'autrefois devenait un charme d'une discrétion pénétrante”. (338)
L'auteur par la comparaison reflète une principale ligne de la nature de l'héroïne:
“C'était un aveu qu'elle avait dû se faire, dans cette chambre même, aux heures d'insomnie : si elle tremblait encore quand il passait, elle savait maintenant que ce n'était pas de crainte ; et son malaise d'autrefois, son ancienne peur ne pouvait être que l'ignorance effarée de l'amour, le trouble de ses tendresses naissantes, dans sa sauvagerie d'enfant”. (362)
Zola montre le procès de la formation de la nouvelle image de l'héroïne et dans la conscience des autres héros, par exemple, chez Bourdoncle:
“Pour lui, elle jouait un rôle, le plus habile des rôles ; car, si elle s'était livrée le premier jour, Mouret sans doute l'aurait oubliée le lendemain ; tandis que, en se refusant, elle avait fouetté son désir, elle le rendait fou, capable de toutes les sottises. Une rouée, une fille de vice savant, n'aurait pas agi d'une autre façon que cette innocente. Aussi Bourdoncle ne pouvait-il la voir, avec ses yeux clairs, son visage doux, toute son attitude simple, sans être pris maintenant d'une peur véritable, comme s'il avait eu, en face de lui, une mangeuse de chair déguisée, l'énigme sombre de la femme, la mort sous les traits d'une vierge. De quelle manière déjouer la tactique de cette fausse ingénue?” (420)
“En attendant, il traitait la jeune fille de puissance à puissance, car il ne la dédaignait plus, il la sentait assez forte pour le culbuter lui-même, malgré ses dix ans de service, s'il perdait la partie”. (421)
Enfin, l'auteur montre, comment change avec l'image de l'héroïne la relation à elle du héros Mouret. Mouret finit alors par comprendre après bien des offres de cadeaux que ce qui importe à Denise, ce n’est pas l’argent, mais l’amour. Pour Mouret, c’est bien une race de fille inconnue. En effet, il n’a été habitué qu’à celles que l’argent faisait fondre. Mouret est alors obsédé par Denise (il en rêve la nuit) qui le suit partout avec lui (conseil des intéressés, inspection, discussion avec des banquiers, paperasses...). Mouret joue alors la tactique de l’amitié. Il s’entame alors de longues discussions dans lesquelles Denise lui suggère de créer un orchestre et de faire des mesures pour améliorer la vie des salariés:
“Était-ce possible ? cet enfant le torturait à ce point ! Toujours il la revoyait arrivant au Bonheur, avec ses gros souliers, sa mince robe noire, son air sauvage. Elle bégayait, tous se moquaient d'elle, lui-même l'avait trouvée laide d'abord. Laide! et, maintenant, elle l'aurait fait mettre à genoux d'un regard, il ne l'apercevait plus que dans un rayonnement ! Puis, elle était restée la dernière de la maison, rebutée, plaisantée, traitée par lui en bête curieuse. Pendant des mois, il avait voulu voir comment une fille poussait, il s'était amusé à cette expérience, sans comprendre qu'il y jouait son cœur. Elle, peu à peu, grandissait, devenait redoutable. Peut-être l'aimait-il depuis la première minute, même à l'époque où il ne croyait avoir que de la pitié. Et, pourtant, il ne s'était senti à elle que le soir de leur promenade, sous les marronniers des Tuileries. Sa vie partait de là, il entendait les rires d'un groupe de fillettes, le ruissellement lointain d'un jet d'eau, tandis que, dans l'ombre chaude, elle marchait près de lui, silencieuse. Ensuite, il ne savait plus, sa fièvre avait augmenté d'heure en heure, tout son sang, tout son être s'était donné. Une enfant pareille, était-ce possible ? Quand elle passait à présent, le vent léger de sa robe lui paraissait si fort, qu'il chancelait”. (421)
L'écrivain rend les idées du personnage ayant inséré son endophasie dans l'espace d'auteur, sans mettre en relief alors du flux des paroles d'auteur. L'auteur lui-même énumère la particularité du caractère de l'héroïne :
“Elle apportait tout ce qu'on trouve de bon chez la femme, le courage, la gaieté, la simplicité ; et, de sa douceur, montait un charme, d'une subtilité pénétrante de parfum”. (422)
Les particularités changements de l'image se reflètent aussi dans la comparaison avec d'autres personnages:
“On pouvait ne pas la voir, la coudoyer ainsi que la première venue ; bientôt, le charme agissait avec une force lente, invincible ; on lui appartenait à jamais, si elle daignait sourire. Tout souriait alors dans son visage blanc, ses yeux de pervenche, ses joues et son menton troués de fossettes ; tandis que ses lourds cheveux blonds semblaient s'éclairer aussi, d'une beauté royale et conquérante. Il s'avouait vaincu, elle était intelligente comme elle était belle, son intelligence venait du meilleur de son être. Lorsque les autres vendeuses, chez lui, n'avaient qu'une éducation de frottement, le vernis qui s'écaille des filles déclassées, elle, sans élégances fausses, gardait sa grâce, la saveur de son origine”. (422)
Ainsi, l'héroïne est octroyée des nouvelles lignes, la nouvelle description de portrait et les nouvelles relations avec d'autres héros:
“Enfin, lorsque sonnaient cinq heures, il devait signer le courrier, le travail machinal de sa main recommençait, pendant qu'elle se dressait plus dominatrice, le reprenant tout entier, pour le posséder à elle seule, durant les heures solitaires et ardentes de la nuit. Et, le lendemain, la même journée recommençait, ces journées si actives, si pleines d'un colossal labeur, que l'ombre fluette d'une enfant suffisait à ravager d'angoisse”. (424)
Donc, pour le développement de l'image du principal personnage Zola utilise de divers accueils de langue. Premièrement, les caractéristiques de portrait, les descriptions, du point de vue des héros et par comparaison avec d'autres personnages. Deuxièmement, une diverse génération les éléments d'estimation, le surnom, de qui octroient l'héroïne les proches. Enfin, dans la description de sa perception du monde et les lignes caractéristiques de sa conscience. L'auteur utilise les épithètes, les comparaisons, la métaphore et la métonymie.
2.2. Les personnages de second rang.
Maintenant nous examinerons le développement des héroïnes du deuxième plan dans le roman. Avant tout, cela – Élisabeth, Geneviève Baudu – les parents plus proches de la principale héroïne.
Les Baudu sont particulièrement exaspérés du fait de leur attachement aux pratiques commerciales traditionnelles, et souhaitent que leur boutique reste telle qu’elle est. Plus tard dans le texte, certains membres de leur famille vont eux-mêmes succomber à cet acharnement et à ce désespoir, voyant le grand magasin provoquer alors petit à petit leur totale faillite.
La formation des images de deux héroïnes commence aussi par leur portrait :
“La première était une petite femme mangée d'anémie, toute blanche, les cheveux blancs, les yeux blancs, les lèvres blanches. Geneviève, chez qui s'aggravait encore la dégénérescence de sa mère, avait la débilité et la décoloration d'une plante grandie à l'ombre. Pourtant, des cheveux noirs magnifiques, épais et lourds, poussés comme par miracle dans cette chair pauvre, lui donnaient un charme triste”. (11)
Comme on voit de l'exemple, déjà initialement l'auteur préfère la couleur blanche à la description de l'héroïne, comme en préparant le lecteur au dénouement tragique de la ligne de sujet liée à elle.
La fille et la mère représentent une certaine unité, sont donnés notamment dans la corrélation de parenté:
“Mme Baudu et Geneviève, l'air résigné, avaient baissé les yeux”. (13)
Aussi l'écrivain ajoute à la description extérieure la caractéristique de l'intérieur de l'héroïne, son sentiment et idées:
“Et la jeune fille, elle aussi, s'était accoutumée à l'aimer, mais avec la gravité de sa nature contenue, et d'une passion profonde qu'elle ignorait elle-même, dans son existence plate et réglée de tous les jours”. (18)
Zola donne aussi la distanciation, l'estimation du héros au nom de l'autre :
“Jean, pris d'intérêt pendant la conversation sur le mariage, dévisageait la cousine Geneviève, qu'il trouvait trop molle, trop pâle, et qu'il comparait au fond de lui à un petit lapin blanc, avec des oreilles noires et des yeux rouges”. (19)
Avec l'aide des épithètes l'écrivain transmet les changements commençant intérieurs de l'héroïne:
Список литературы
BIBLIOGRAPHIE
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