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Курсовая работа*
Код |
335102 |
Дата создания |
07 июля 2013 |
Страниц |
24
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Содержание
"Chapitre 1 : caracteristiques linguistiques et compositionnelles d’un texte de presse.
1.Definition du texte.
2.Unites compositionnelles du texte dans la presse.
3.Especes des textes : monologue \ dialogue.
4.Genres des textes.
5. Reportage comme genre de publicite.
6. Le role des masse-medias dans la societe.
Chapitre 2 : L’analyse des particularites linguistiques dans la composition d’un reportage de presse.
1. Particularites morphologiques.
2. Particularites lexicales.
3.Particularites syntaxiques.
4. Particularites stylistiques.
Chapitre 3 : Parametres dit « pragmatiques » de l’expressivite d’un reportage de presse.
1. Reportage d’information.
2. Reportage d’un sujet de sport.
3. Conclusion.
Bibliographie ;
Liste des articles etudies.
Введение
прагматические параметры экспрессивности газетного репортажа
Фрагмент работы для ознакомления
Il est surtout possible de proposer un certain nombre de définitions de la communication multimédia. La première concerne la production, la transmission et l'interprétation d'un texte-composite quand au moins deux des textes-composants font appel à des systèmes de représentation différents. On retrouve là la définition la plus générale de multimédia, déjà entrevue. La deuxième définition fait appel à au moins deux modalités perceptives, cette définition s'accorde bien avec la conception répandue qu'est multimédia est ce qui fait appel à l'image et au son . Les troisième et quatrième définitions insistent sur l'interactivité possible avec l'utilisateur. On retrouve dans cette définition tout ce qui est « hyper » et que l'on trouve dans les hypertexte et les hypermédia, ainsi que la notionde navigation. La dernière définition s'attache à ce que multimédia est ce qui comporte entre autres du son et/ou de l'image animée.
Il semble cependant utile d'insister sur le fait que les documents multimédias sont à l'informatique sur au moins deux points. Le premier concerne la possibilité de mêler de façon aisée plusieurs documents ou morceaux de documents de formes d'appropriation différentes. L’assemblage se réalise d'après une description des opérations (structure de plan de présentation), ayant des formes d'enregistrement et d'appropriation différents.
Le deuxième point fondamental est de rendre opératoire la possibilité de liens entre parties d'un même document ou de documents différents, autorisant une nouvelle interactivité de l'utilisateur par rapport au document. Les réseaux hypertextes permettent de naviguer d'une partie de document textuels à l'autre, tandis que les hypermédias étendent la notion à tout type de document. Il devient possible de cliquer sur un texte et de jouer un enregistrement musical, ou même de naviguer d'une image à l'autre. Le World Wide Web illustre l'importance toujours croissante de ce type des réseaux.
II.1 Adressons-nous, en premier lieu, à la définition de la morphologie.
C’est le dictionnaire de Larousse, qui nous l’explique ainsi : « Morphologie ( morphê – forme et logos – science). Etude de la forme et de la structure des êtres vivants. Etude de la forme des mots. »
Comme il était déjà dit, la langue parlée et même la langue de l’argot sont celles de la presse écrite. Alors, là, la création de nouvelles unités se retrouve, elle-ausi, sa place. Les préfixes font naître des énoncés, dont le sens est le contraire à l’initial :
« Construire-détruire ; encourager-décourager ; accord-désaccord ; justice-injustice ; croyable-incroyable. » C’est ainsi, alors, que naissent parfois des antonymes. Dans le cadre du style ces dérniers permettent d’exprimer avec toute la valeur expréssive une idée ou un avis contraire, et, de cette sorte, aboutissent au dialogue intérieur.
Des unités, composées de plusieurs morphèmes, sont aussi présentes dans la langue du reportage : « belli\gerante » ou bien « extra\sportif » en servent des exemples.
La forme verbale nait, parfois, à partir de celle substantive : « parlementer », dérivé du « parlement », par exemple.
Le préfixe « re » a toutes ses capacités de donner à la langue une teneur de renouvelement et, de cette sorte, « colorie » la parole de l’article ( établir-rétablir, commencer- recommencer ).
La langue parlée ( « bafouer », « ...se tirer dans les pattes au dehors » ) a un aspect favorable pour faire naître de nouvelles formes morphologiques.
II.2. Le style journalistique repose sur une grande variété du vocabulaire. Ici le journaliste insiste sur le caractère manipulateur de l’évasion en employant un lexique habituellement lié а la préstidigitation.
Notons, en particulier, que les genres journalistiques contiennent tout un ensemble des sujets, relèvent tout côté de la vie. Par conséquant, une telle spécificité provoque des particularités linguistiques.
Si l’un des sujets du reportage est sensé de mettre au jour un problème technique, là, alors, le journaliste est obligé d’en savoir des thèrmes spéciaux, ou bien en donner des commentaires developpés.
D’autre part, il existe toujours des sujets, qui sont perpétuellement présents dans la presse et dont le vocabulaire et les procédés stylistiques sont plus ou moins communs à toutes ces variétés.
Notons parmi ces sujets-là celui de la politique, où on a régulierement affaire avec le même ensemble des unités lexicales.
Le domaine d’économie, lui aussi, a sa « palette » des thèrmes constamment employés.
Quant aux sujets, concernant l’enseignement, la criminalité, la santé, il existe, évidemment, des variétés lexicales, propres à tout sujet mentionné.
Des reportages, appelés à parler des faits divers, ou bien, concérnant les thèmes intérnationaux, contiennent des unités lexicales, qui revèlent simultanéiment le sujet.
Pour tout genre de reportage l’emploi du lexique appreciatif est propre. Antonymie et synonymie sont aussi des moyens, propres au style du reportage :
démocratie-dictature ; crise-stabilisation ; légal-criminel ; masse-élite ; chute-ascension ; ou bien, politique-idéologique ; juridique-idéologique ;
Le champ lexical des synonymes est aussi très propre à l’écriture d’un article. Là, le journaliste, pareil au peintre, fait le choix entre les nuances des unités verbales. L’emploi de néologismes, des nominations historiques sont aussi un trait particulier de la langue journalistique. Le lexique étranger et les emprunts font, eux-aussi, partie de la palette, dont le journaliste se sert. L’analyse du materiel textuel de la presse française confirme les emprunts et les abrégés, dont les textes journaliers abondent. Il est à ajouter, que la presse est un zone actif pour tout lexique etranger, pour tout néologisme ou même argot qui naît. Le tendance pour l’abbréviation est conditionnée par l’intention d’exprimer les pensées d’une façon plus concentrée, plus courte, est un état de la langue actuelle.
II.3. Réservons un paragraphe à des particularités syntaxiques d’un reportage. L’évenement décrit est en une grande dépendance de sa représentation grammaticale et syntaxique, y compris la composition de la phrase. Parmis des moyens principaux peuvent etre cités la clarté et l’originalité du style. L’apparition d’une grande variété des stéréotypes (clichés, standarts) est propre à la langue d’un article.. Sans ces stéréotypes – là une création rapide d’un texte est impossible.
Dans la composition de la phrase du reportage nous remarquons une sorte de détachement de la phrase entière en des séquences courtes, contenant, comme règle, le sujet et le prédicat. Sinon, une phrase nominative est employée asez souvent dans des titres ou dans le texte du reportage.
L’emploi du discours direct est aussi un trait particulier de la phrase d’un article. Si la phrase comporte plusieures parties propositionnelles, ces dérnières sont liées par des conjonctions, assez largement présents dans le reportage. Omission du verbe auxilière est aussi un côté significatif dans la composition de la phrase, soit si elle fait partie de la phrase entière, soit si elle est employée indépendamment. Des constructions synonymiques du sujet ou du prédicat se font remarquer aussi dans la phrase. Exemple : « La presse liée au parti de la justice...(sujet ), une formation islamiste modéré ( sujet )...étaient les seules à dénoncer la disparition de ses corelégionnaires... »
Il arrive, que la construction « sujet-prédicat » est remplacée par le gérondif, ce qui rend la parole encore plus vive, lui donne une nuance de simultanéité dans la suite des évenements.
Exemple : « Les organisations marocaines ont tardé à se mobiliser, leur membres laïcs trainant des pieds... »
L’emploi de la question réthorique est très aimée par des journalistes, puisqu’un tel moyen provoque la réflexion du lecteur sur des faits divers, le fait y participer. De courts commentaires données dans des parenthèses sont aussi fréquents sur les pages des articles, s’il s’agit, par exemple à déchiffrer une abbréviation.
II.4.Comme tout genre littéraire, le journal reflète un niveau certain du developpement de la langue. Là, on s’aperçoit d’un rapprochement certain de la langue parlée à la langue écrite. La langue de la presse des jeunes est perçue des expressions de l’argot. L’emploi des métaphores, des périphrases, du langage familier est très souvent présent dans des articles de l’actualité.
Le renouvelement et la variété perpétuelle des expressions est un trait remarquable du style journalistique. Quant aux particularités du texte d’un article français, il est à remarquer une expressivité du langage standard, autant que la richesse des néologismes et des clichés dans des textes journalistiques .
Normalement, le journaliste évite la répétition d’un seul terme pour désigner les sujets de l’article. Par ailleurs, il diversifie son vocabulaire. Ce procédé de reprise est très fréquent par exemple dans les compte-rendus de matchs ( en cyclisme pour désigner le leader : le vainqueur de l’étape, le maillot jaune, le leader de la grande boucle, le patron du tour, le meilleur grimpeur, Armstrong, l’américain…) L’analyse du matériel textuel de la presse française confirme les emprunts et les abrégés, dont les textes journaliers abondent. Il est à ajouter, que la presse est un zone actif pour tout lexique etranger, pour tout néologisme ou même argot qui naît. Le tendance pour l’abbréviation est conditionnée par l’intention d’exprimer les pensées d’une façon plus concentrée, plus courte, est un état de la langue actuelle. L’analyse du texte journalistique fait preuve d’un emploi fréquent des emprunts, dont les abbréviations font partie.
Les citations directes, les diverses formes de discours ou de pensée rapportée au style indirect ou indirect libre, les faits de polyphonie, d'intertextualité, et autres effets d'écho sont fondés sur un procédé sémiotique particulier appellé démonstration. Les séquences démonstratives (vu descriptives) expriment (ou décrivent) un niveau conceptuel et propositionnel ( lorsqu'elles décrivent quelque chose), et mettent en scène un discours objet (ou une pensée, un point de vue ).
Parmi d'autres propriétés communes, les séquences démonstratives, qu'il s'agisse d'une citation directe ou d'un quelconque effet polyphonique — peuvent avoir diverses fonctions discursives ou pragmatique comme faire progrésser le déroulement d'un récit, étayer une argumentation, réfuter ou se moquer de ce que vient de dire un interlocuteur, par exemple. Des fonctions illustrative, narrative, appréciative, autoritaire, ou encore réfutative, railleuse, ironique, sont bien présentés dans des articles des journaux.
Il est bien évident que ces fonctions varient non seulement selon les formes de démonstration mises en jeu (certaines formes privilégient parfois certaines fonctions, et réciproquement), mais aussi selon les genres discursifs, et plus généralement selon les types de contexte ou d'intéraction. Une séquence démonstrative n'a pas la même fonction pragmatique lorsqu'elle reproduit, par exemple, une affirmation de l'interlocuteur dans le cadre d'un dialogue, celle d'un personnage dans un récit, le point de vue d'une autorité dans un contexte
Ceci dit, la mise en relation des notions de genre de discours et de fonction pragmatique des séquences démonstratives ( à un niveau micro ) n'est pas aussi simple. Le genre d'un discours peut être descriptif et/ou démonstratif — via certains principes d'organisation hiérarchique et compositionnelle. On pourrait dire que la fonction de certains énoncés organisés entre eux hiérarchiquement et compositionnellement détermine un genre.
Tout en restant dans le sujet du style, notons, en particulier, la structure en pyramide inversée.
Contrairement au texte littéraire ou а la dissertation, le texte de presse répond en " urgence " а ces cinq questions fondamentales car il est nécessaire d’informer le plus vite possible le lecteur. Ces informations sont déjа le plus souvent présentes dans le titre et le sous- ( ou sur ) titre, voire dans le chapô, mais également dans le début de l’article plutôt qu’а sa fin. D’où l’image d’une construction en pyramide inversée ( beaucoup d’éléments au début et peu а la fin ) qu’il est facile de repérer а partir des éléments surlignés.
III. Pragmatique - venu de “pragma” (grec), signifie – « action » , « affaire ». un aspect semyotique, consacré a etudier un système abstrait significatif, et puis, à l’interprêter. C’était Pirce, à qui ce système doit ses fondation et déjà après Morice et d’autres savants ont travaillé dans la même tradition. A la différence de la syntaxique qui etudie la dépendances structurelles entre les expressions du système significatif, et la cemantique, qui est en vue toutes ces dépendances structurelles, la pragmatique met en valeur les particularités stylistiques de la langue, qui servent à une interpretation meilleure d’un fait, afin que le sens de ce dernier soit perçu d’une façon exostive. La pragmatique tient compte de toute subtilité de l’esprit humain et c’est en fonction de ses capacités qu’elle crée et construit les textes. Ainsi, la pragmatique se sert largement de decouvertes dans le domaine de psychologie, autant que de la psychologie sociale, et de linguistique.
Si parler des articles français, là, la voix de l’auteur est presque effacée. En plus, l’absence de toute participation s’y fait sentir. Ainsi, l’auteur de l’article s’abstient des commentaires sur un fait passé.
Le journaliste francais ne donne que des faits. Il évite le flou des chiffres. Tout artucle est composé de quatre repères principaux : plan chronologique, plan demonstratifs (« spécifique ») et plan « pyramide inversé ».
Dans ce schema tout alinéat et l’autre partie de l’article font un ensemble d’un resumé court, où la partie qui suit sert à developper l’intrigue annoncée. Cela est propre à tout reportage, que l’on a à notre étude.
Le choix des moyens stylistiques et la tonalité du style du texte sont choisis selon le sujet présenté.
De differents textes des journaux illustrent ce travail d’analyse du reportage. Des articles tirés touchent tout côté de la vie : politique, sport, culture, écologie, mode.
La variété des sujets est aussi celle de la langue. L’analyse des valeurs stylistiques met en evidence l’importance du choix des moyens morphologique, lexicaux et ceux du syntaxe.
Avant de parler des composants de la langue indépendemment des autres moyens stylistiques, consacrons un paragraphe aux articles choisis et expliquons un tel choix.
Des faits, des évenements des articles ont lieu dans des pays différents. Dans l’article « Les sinistres méthodes font leur réapparition » l’action se passe en Afrique, au Maroc. Une autre page du même journal raconte l’histoire de Condolezza Rice, conseillère à la sécurité nationale du président Bush. La guerre, le SIDA, l’impunité dans « L’Afrique cherche ses mots pour dire les drames du continent » sont les thèmes abordés dans le journal « Culture ».
Plusieurs articles concernants le sport nous servent à demontrer les particularités d’un reportage sportif.
Dans le sujet de la politique, le rôle des Organisations Non Gouvernementales est le thème « Des humanitaires ... en Irac » (le Monde)
Autant que la vie quotidienne « l’eternel » a aussi sa valeur actuelle et est presenté sur les pages de la « Culture » (« L’absession de tout peindre de Botticelli ».)
L’écologie en danger crie son importance dans des articles consacrés à l’Asie Centrale. Ceux derniers ont apparu suite des publications dans « The New York Times ». Enfin, l’importance de la « Bohème » se fait voir dans un des reportages, consacré à l’histoire des habits théâtrals, et ainsi, à un des plus grands costumiers du monde (« Angels, le plus grand costumier du monde »).
Ceci dit sur l’ensemble des sujets choisis, allons voir la composition et les valeurs stylistiques des articles.
III.1. Reportage d’information.
Prenons un des articles choisis, dont le sujet concerne la politique et sert à informer le lecteur sur le rôle des humanitaires en Irac. En « angle » de l’article l’information essentielle est donnée sous une forme courte et serrée. En Irac, les ONG ( Organisations Non Gouvernementales ) autant que les civils, se retrouvent sous le danger des groupes armés terroristes. Il arrive que les humanitaires payent de leur vies le prix de leur présence dans ce pays.
Comme il etait déjà dit, le reportage relève le sujet politique mais son but est d’informer le lecteur sur la situation des membres des ONG en Irac.
L’article, paraît-il, est un exemple de la représentation du matériel dite classique : une information essentielle, présentée en quelques phrases au début, donne une vision du problème d’une façon générale.
Des étapes du developpement qui suivent servent à :
1) décrire le situation d’une manière plus détaillée
2) développer des idées qui en découlent, dans leur succession logique.
3) la voix de l’auteur se fait entendre, elle aussi, à travers l’expressivité des expréssions, ainsi qu’à travers des propos qu’il fait.
4) Tout cet acheminement des faits décrits aboutit à la conclusion, construite des questions réthoriques, qui déclenchent la refléxion sur le sujet de l’article.
Adressons-nous encore une fois à la définition du pragmatique pour en faire une idée et analysons l’article du point de vue de son aspect pragmatique.
En premier lieu, c’est la valeur active, qui tient compte.
Dans cet article, on le voit bien. Déjà l’ « ONG » prevoit un rôle actif, le désir et la volonté d’agir. C’est, alors, déjà le choix du sujet qui revèle l’aspect pragmatique du reportage.
Deuxièmement, côté pragmatique conçoit l’emploi des particularités stylistiques dans le but de montrer toutes les subtilités expressives d’une action telle qu’elle est.
Une fois commencer à parler des valeurs stylistiques, arrêtons-nous là en nous appuyant sur le texte de l’article.
L’abbréviation est très présente dans le texte de l’article : ONG, MSF, MDM.
Le titre comporte déjà l’élément du lexique expréssif : « Les humanitaires, cibles politiques en Irac » - « cible » a sa nuance imaginative.
Du point de vue du syntaxe, la phrase du titre ne comporte pas de prédicat. Ce type nominatif produit l’impression d’une déclaration. Ces quelques mots ( il n’y en a que quatre) éxpriment déjà l’idée du reportage sous cette forme serrée. De cette sorte, le developpement du sujet est concentré dans quelques mots. Un bon choix du lexique, est, alors, très important pour une réussite expressive.
N’allons pas quitter le sujet du lexique et donnons-en quelques exemples de l’emploi de certaines unités. Ainsi, « terrifié », « abattu », « influencer » sont des moyens verbaux, exprimant une action transformante – ce qui est propre au reportage dit « pragmatique ».
Enfin, le lexique de guerre est reprisentatif, lui aussi, et contribue à une perception très vive et active du texte : « groupes armés terroristes », « attentat », « force belligérantes », « victime ».
L’emploi des préfixes est aussi propre à ce genre du reportage :
insécurité,
confrère,
remettre en question,
rétablir,
Une nuance de répétition se fait aussi voir dans le texte : « à chaque instant ; « remettre en question ( prefixe « re »).
Etablir = rétablir.
Cette répétition sert à accroître l’intensité émotionnelle.
« ...ne sont pas en train de payer le prix...». « Etre en train de faire qch » est une expression, appartenant plutôt à la langue parlée.
Список литературы
Bibliographie
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Liste des articles etudies.
1.Angels, le plus grands costumier du monde. Et si vous passiez la robe de Scarlett O’Hara ? (Reportage)
2.Les Humanitaires, cibles politiques en Irak. (Le monde)
3.Apres la France, Monaco brille sur la scene europeenne. (Aujourd’hui)
4.Menace sur l’Asie Centrale. Cinq Republiques en quete d’eau. (Reportage)
5.L’actualite demange les artistes de l’image. (Culture)
6.Le XV de France aborde le moment de verite avec un denier succes. (Aujourd’hui)
7.L’Afrique cherche ses mots pour dire les drames du continent. (Culture)
8.Les sinistres methodes font leur reappartion. (Courrier international № 640)
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